Alexis Lambert, Zone Campus, collaboration spéciale
En mars dernier, lorsque la pandémie a éclaté, j’étais optimiste. Pas vraiment au niveau du déroulement de celle-ci (800 000 morts à ce jour, ce n’est pas super) ni de la gestion, mais plutôt des conséquences qu’a amené le confinement : décroissance, moins d’émission de gaz à effet de serre, etc. Cependant, cet éclat de joie de ma part fut rapidement taraudé. Je voyais à ce moment une occasion de faire un revirement, de changer la tendance, de reculer un peu la doomsday clock. Il n’en est rien.